« Adieu l’ami »
De ton départ aussi soudain
Nous devenons des orphelins
Un vide rempli nos lendemains
Difficile de croire au destin
Tu avais le cœur sur la main
Tu aimais donner ton soutien
Ton courage te portait plus loin
Toi le furieux marathonien
Dans nos cœur tu es le meilleur
Toi aussi tu étais chambreur
On aimait ton coté moqueur
Cet esprit qu’on a nous coureurs
Sans toi les gobions sont en noir
Mais de toi reste la mémoire
De tous nos cœurs paix à ton âme
Adieu à toi l’ami Stéphane